Avec Cassy, le cinéaste Noël Mitrani continue dans la veine d'un cinéma psychologique et social entamé par Le militaire et Après coup,
traitant de problèmes domestiques, de violence faite aux femmes et de
deuil à gérer. Généralement bien écrit, le récit souffre de dialogues
quelque peu empotés, que vient faire oublier une douce réalisation
minimaliste et des interprètes de talent, dont le charme de la petite
Natacha Mitrani emporte l'adhésion. Demain aux Rendez-vous du cinéma
québécois. ***
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